Published by Christophe Crévieaux, on 03/01/2008
Selon une étude réalisée par CommScore (organisme très sérieux de statistiques aux USA), un utilisateur qui entretient ses réseaux sociaux via le web passe en moyenne 186 minutes par session sur des sites comme Facebook, Myspace, Linkedln,…
Les gains de productivité éventuels, générés par le social computing, deviendraient alors totalement contre productifs de par la dépendance que ces outils génèrent et l’aspect ludique qu’ils présentent détournant les honnêtes travailleurs US du droit chemin.
Le magazine Forbes qui reprend l’info nous rassure un peu en mentionnant le fait que très souvent le temps de connexion à ces sites ‘diaboliques’ ne correspond pas au temps d’utilisation (l’utilisateur laissant l’application tourner même si son attention s’est à nouveau concentrée sur son travail). Par ailleurs, pour ceux qui auraient éventuellement peur de ne pas pouvoir se contrôler, pour tous ces gens qui font preuve d’une volonté fragile, website repairs propose une petite application (notworking) qui permet de tenir à l’œil le temps passé sur ces sites et sensibilise l’utilisateur en transformant ce temps en argent gaspillé (http://www.websiterepairs.net/notworking.php). A quand la première condamnation pour utilisation abusive de linkedln sanctionnée d’une peine d’un mois en maison de désintox ?
A ceux qui pourraient encore être interpellés par la haute teneur en dérision de cette information, je ne peux que recommander la lecture d’American vertigo de BHL.
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