Published by FORUM, on 17/08/2009
Mckinseyquarterly.com a publié récemment un article sur la tendance croissante à recruter via des sites de socialisation tels Facebook et LinkedIn : When job seekers invade Facebook.
– Pensez-vous que le recrutement se fera de plus en plus à l’avenir via des médias sociaux ?
– Certains observateurs sont d’avis que l’usage croissant des médias de socialisation diminue la valeur ajoutée des agences de communication RH (parce que les organisations pourront assurer elles-mêmes la gestion de leur recrutement). D’accord ou pas ?
– Et pour terminer : les médias de socialisation peuvent-ils remplacer les médias de recrutement traditionnels, et donc principalement les sites job ? (+ dans le cas où vous êtes un media de recrutement: Quelles initiatives votre entreprise a-t-elle déjà prises (ou étudie-t-elle) pour répondre au phénomène des médias de socialisation et donc pouvoir à l’avenir servir encore mieux/plus efficacement vos clients – y compris en termes de rapport prix/résultat ?)
Vous pouvez insérer ci-dessous vos réaction(s) à ces trois questions (ou à l’une d’elles).
Intéressé(e) par le recrutement via les médias de socialisation social ? Venez au Séminaire HRMinfo du 29/9/2009 !
Vaste question et débat problématique pour nous, spécialistes des ressources humaines.
En effet, c’est bien une thématique importante pour ceux qui s’occupent des hommes et des femmes dans leur univers de travail. Les médias sociaux de type participatif et en réseau ont un impact (quel qu’il soit) sur la vie des professionnels.
Question majeure : quel impact ?
Pour répondre à la première question :
Personnellement je suis convaincu que les médias sociaux feront de plus en plus partie intégrante des stratégies de recrutement. Il faut distinguer le grand n’importe quoi des véritables médias nouveaux mais comment passer à côté de ce qui devient la réalité d’une partie de la population active et surtout de la “relève” en termes de classe d’âge ?
La grande problématique est que peu sont ceux qui ont une véritable stratégie car le temps de recul par rapport aux avancées technologiques n’est pas grand et il est donc aisé pour une compagnie d’être en retard de deux guerres dans ses outils et stratégies.
Que faire ? Bonne question…
Réponse à la question 2 :
les agences de comm sont néanmoins les premières à devoir s’adapter aux nouveaux medias sociaux. Si adaptation il y a, survie il y a (c’est pas moi, c’est Darwin qui l’a dit). Par contre, ceux qui ne suivent pas de près ce qu’il se fait, même si ils font du travail de qualité, perdront en avantage concurrentiel, c’est sûr.
Solution : une agence aux compétences multiples avec de vrais programmes médias (et beaucoup de sueur pour trouver les clients prêts à payer le prix… :) ).
Enfin, ces médias vont-ils remplacer le traditionnel ? C’est partiellement le cas mais il serait parfois ridicule de ne pas être présent dans les plus gros annonceurs et les plus ciblés. La question de “remplacement” du traditionnel est un peu simple car il s’agit ici de marketing et de diffusion et non d’un produit particulier… S’adapter, ce sera le mot.
Quant aux entreprises qui s’adaptent, j’aimerais véritablement pouvoir discuter de leurs expériences positives et négatives.
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